Du trop visible à la discrétion…

Une femme ne semblait qu’apparence…

En vérité, avec une rare sagesse, elle soignait son apparence pour protéger son essence…

Subjugué, fasciné moi aussi par son apparence, je me suis approché d’elle…

Détecteur d’ineffable, chercheur d’indéfinissable, j’ai deviné ce quelque chose d’autre dissimulé derrière les atours et l’apparence… son essence… tout comme la secrète a deviné la mienne, bien cachée derrière mon dilettantisme.

Nous avons mélangé nos essences dans un réservoir commun…  

Elle poursuit la culture de son apparence… et pour moi c’est super.

Note : Aujourd’hui ou tout n’est plus qu’apparence, l’imposture réside dans le fait que l’essence affichée est bien souvent frelatée.

DECOUVREZ FLOUVILLE !

A la mémoire d’une mémoire morte…
Le monument aujourd’hui dressé (sur la deuxième image) à Flouville rend un hommage postune à la transparence et à la mémoire perdue de mon disque dur abritant à l’époque des milliers de mots et d’images.

A la suite de cette catastrophe, les recherches dans les invisibles informatiques ayant échouées, le Flou (reconsidération aléatoire et sans limites du visible et de la pensée) s’est développé sur les pages lumineuses de mes écrans tant au travers du vivant que du virtuel.

Je vous transmets quelques clichés de la cérémonie d’érection de la chose, à Flouville, en présence du flou en chef (gris sur son piédestal) de quelques flous de couleur et de six femmes (naturellement plus nettes que l’homme) placées au centre du dispositif. J’aperçois une petite fille qui se pose des questions … mais bon…