Publié le 30 Octobre 2018

Plus vite je lis vite plus je retiens…    car l’essentiel est souvent très court…  et je cours à l’essentiel

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Rédigé par William Radet

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Publié le 27 Octobre 2018

Rédigé par William Radet

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Publié le 25 Octobre 2018

 Vu dans la sublime revue "Le fou parle"

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Rédigé par William Radet

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Publié le 19 Octobre 2018

Rédigé par William Radet

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Publié le 18 Octobre 2018

 

L’enfant que j’étais et que je tiens toujours par la main…   m’a soufflé parfois que je n’aurais pas dû… que j’aurais pu…

 

Si je suis devenu moins sage que lui, il (cet enfant qu’on a appelé Vivi, Will, Bill, Willy) doit savoir qu’il restera toujours à mes côtés et que ça va durer un certain temps puisque je n’ai même pas le temps de mourir.

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Rédigé par William Radet

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Publié le 16 Octobre 2018

La peinture n’est pas littérature

parce que s’en mêlent les pinceaux…

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Rédigé par William Radet

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Publié le 14 Octobre 2018

Pour creuser son trou à l'intérieur de soi... se saisir d'une idée, prendre un crayon, descendre à la mine...

Surtout ne pas épater la galerie...

parcourir les réseaux sans se perdre...

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Rédigé par William Radet

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Publié le 12 Octobre 2018

Une femme au foyer chantonne en repassant…

Elle me dit qu’elle envie les femmes de l’usine…

Elle me dit aussi qu’elle s’ennuie à la campagne… dans les chemins creux… sur les routes droites… au bord des champs plats…

Elle me dit que son mari est un type très bien…

Et je me dis qu’elle s’ennuie à mourir en plein bonheur.

Elle se dit peut-être, me devinant au-delà mon sourire, que je n’y connais rien en bonheur.

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Rédigé par William Radet

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Publié le 12 Octobre 2018

Rédigé par William Radet

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Publié le 11 Octobre 2018

J'avais ouvert pendant quelques instants les volets rouges pour laisser entrer le soleil dans la vieille maison vide... Des papillons étaient entrés par curiosité peut-être... ou parce qu'il y avait des fleurs sur les murs... Puis les volets se sont refermés... Ils sont restés là, dans les ombres et dans les nuits. Personne ne s'est inquiété de leur disparition. Les papillons n'ont pas de famille... Ils papillonnent... et c'est tout.

 

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Rédigé par William Radet

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