Que de mots de trop ! Empilés en alphabètes par des voyeurs de voyelles, galvaudés par des galvaudeux qui pullulent comme des rats dans les égouts des réseaux…

Publié le 11 Février 2019

… pour faire des phrases qui ne sont jamais que le manque d’air des folles phases d’une décomposition des pensées qui jadis faisaient beaucoup de feuilles et maintenant n’abritent que des lucioles en attendant le lever du jour où petits et grands sur petits écrans… retrouveront la valeur des signes muets qui nous parlaient si fort sans nous casser les oreilles.

Rédigé par William Radet

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