Publié le 27 Mars 2015
C’était un temps
où même les ombres avaient des lèvres.
Les jeunes filles avec enfant faisaient l’objet d’une attention particulière
Ecrivain - Créateur de la floulosophie - Photographe de rue - Légendeur surréaliste - Romans - Aphorismes - Théâtre - Nouvelles - Chansons
Publié le 27 Mars 2015
C’était un temps
où même les ombres avaient des lèvres.
Les jeunes filles avec enfant faisaient l’objet d’une attention particulière
Publié le 27 Mars 2015
Cette année là la ville fut contaminée
par une étrange maladie
amenée par des maçons venus d'ailleurs
Publié le 26 Mars 2015
Les gens sont-ils devenus
aussi sales à l'intérieur ?
Publié le 25 Mars 2015
Publié le 25 Mars 2015
On n'y voyait que du bleu...
La toile abritait les jours d'orage
des trésors insoupçonnés
Publié le 24 Mars 2015
Un afflux très net de voix féminines a été enregistré sur ma ligne floue
Merci de ne pas appeler toutes en même temps !
Publié le 24 Mars 2015
Le concert fut annulé
pour cause d'éléphantiasis guitaroïde !
Publié le 23 Mars 2015
Un manipulateur coquin... Une jouisseuse jubilatoire
Un frère et une soeur aveugles si attachants...
Ce que j'en ai pensé spontanément
Un critique imbécile note que « N’est pas Luis Bunuel qui veut… ».
Et là je dis tant mieux. Si le sujet de « Indésirables »avait été traité de façon surréaliste maniérée il n’aurait pas cette vérité permanente qui ne nous lâche même pas dans les situations presque improbables.
Ici, point de monstres, de diables et de religions.
Point d’effets, ni spéciaux ni spécieux. Un solide noir et blanc pour dire, montrer des gens ni noir ni blancs, simplement vivants et riant malgré le pire.
Comme à son habitude un troublant et délicieux Jérémy El kaïm croise une ineffable Béatrice De Stael qui fort heureusement pour nous refait surface à la fin avec une grâce absolue. Tous les acteurs sont au mieux dans leur partition et leurs voix et leurs visages de madonne ou de pervers sont gravés dans ma mémoire.
Pour faire « pros » certains relèvent quelques erreurs techniques, qui pour moi donnent la vraie solidité. C’est comme pour la musique : les belles voix ne font pas les chanteurs qu’on aime et qui nous touchent. Le petit bémol passe et nous rappelle que des humains sont au travail.
Et il n’y a que ça, ici… que des humains indésirables traités en images et en paroles avec une rare humanité. Juste humanité. Le handicap ne fait pas de vous un saint. J’ai souvent ri. J’aurais pu pleurer. Merci à vous d’exister !!!!!!!!!!!!!! William Radet.
Je répète ici, ce film n’est pas un petit film mais un grand film à petit budget.
A moins que vous ne soyez handicapés de la langue, ouvrez vos bouches vers d’autres oreilles pour parler de « Indésirables » Distributeurs, ouvrez vos salles !
Publié le 23 Mars 2015
Publié le 22 Mars 2015